Au réveil, un nouveau dimanche s’inscrit au cadran de l’horloge : remise à l’heure d’été.
Hier était encore l’hiver.
Aujourd’hui, la météo annonce de la neige sur le massif vosgien à partir de 600 mètres d’altitude.
Une nuit plus courte. Une heure de souffrance en moins pour certains.
Une heure gratuite à ne pas vivre…
D’ici six mois, il faudra certainement la rendre.
« On » prend un peu de ce qui a été donné fin février, le 29, n’est-ce-pas ?
Sauf qu’alors la journée était pleine, tout comme la lune le dimanche précédent. Lors de la nuit passée, l’heure complète de soixante minutes… était vide.
La semaine dernière, le printemps s’est glissé dans l’agenda, la tête pas à la fête ; coronavirus et confinement obligent.
À présent, je me demande comment se passera l’été prochain.
Confinement encore ?
L’esprit aux vacances ?
En fait, des vacances ou un rattrapage de l’économie ?
Un défoulement ou à l’inverse encore beaucoup de prudence après le confinement ?
Et la situation des moyens financiers individuels ?
L’après-choc en somme, si toutefois le virus est contenu d’ici là avec de nombreuses cérémonies…
Soyons optimistes et surtout toujours très prudents.