[édito] Pendant que les champs brûlent…*
Tout ressemble à une première de théâtre, médiocre, qui manque tout autant d’horizon, de grâce mais aussi de désinvolture. Tous les médias ont beau être obnubilés par le génie de sa personne mais n’est ni Clemenceau ni Blum, pas Mendès-France, pas Pompidou, pas Mauroy (ancien secrétaire général du SNETAA), pas même Rocard... qui veut.